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Author: tilman
Date: Mon Nov 16 16:46:17 2015
New Revision: 1714630

URL: http://svn.apache.org/viewvc?rev=1714630&view=rev
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PDFBOX-3110: add test files by Maruan Sahyoun

Added:
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Propchange: pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf
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    svn:mime-type = application/pdf

Added: pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf-sorted.txt
URL: http://svn.apache.org/viewvc/pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf-sorted.txt?rev=1714630&view=auto
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@@ -0,0 +1,71 @@
+Wer reitet so spät durch Nacht und Wind?
+Es ist der Vater mit seinem Kind;
+Er hat den Knaben wohl in dem Arm,
+Er fasst ihn sicher, er hält ihn warm.Mein Sohn, was birgst du so bang dein Gesicht? 
+—
+Siehst, Vater, du den Erlkönig nicht?
+Den Erlenkönig mit Kron’ und Schweif? —
+Mein Sohn, es ist ein Nebelstreif. —„Du liebes Kind, komm, geh mit mir!
+Gar schöne Spiele spiel’ ich mit dir;
+Manch’ bunte Blumen sind an dem Strand,
+Meine Mutter hat manch gülden Gewand.“ —Mein Vater, mein Vater, und hörest du nicht,
+Was Erlenkönig mir leise verspricht? —
+Sei ruhig, bleibe ruhig, mein Kind;
+In dürren Blättern säuselt der Wind. —„Willst, feiner Knabe, du mit mir gehn?
+Meine Töchter sollen dich warten schön;
+Meine Töchter führen den nächtlichen Reihn
+Und wiegen und tanzen und singen dich ein.“ —Mein Vater, mein Vater, und siehst du nicht dort
+Erlkönigs Töchter am düstern Ort? —
+Mein Sohn, mein Sohn, ich seh’ es genau:
+Es scheinen die alten Weiden so grau. —„Ich liebe dich, mich reizt deine schöne Gestalt; Dem Vater grauset’s; er reitet geschwind,
+Und bist du nicht willig, so brauch’ ich Gewalt.“ — Er hält in Armen das ächzende Kind,
+Mein Vater, mein Vater, jetzt faßt er mich an! Erreicht den Hof mit Mühe und Not;
+Erlkönig hat mir ein Leids getan! — In seinen Armen das Kind war tot.ARGAN, seul dans sa chambre, assis, une table devant lui, compte des parties d'apothicaire avec 
+des jetons; il fait, parlant à lui-même, les dialogues suivants:
+Trois et deux font cinq, et cinq font dix, et dix font vingt; trois et deux font cinq.
+"Plus, du vingt-quatrième, un petit clystère insinuatif, préparatif et rémollient, pour amollir, humecter 
+et rafraîchir les entrailles de monsieur?" Ce qui me plaît de monsieur Fleurant, mon apothicaire, 
+c'est que ses parties sont toujours fort civiles. "Les entrailles de monsieur, trente sols." Oui; mais, 
+monsieur Fleurant, ce n'est pas tout que d'être civil; il faut être aussi raisonnable et ne pas 
+écorcher les malades. Trente sols un lavement! Je suis votre serviteur, je vous l'ai déjà dit; vous ne 
+me les avez mis dans les autres parties qu'à vingt sols; et vingt sols en langage d'apothicaire, 
+c'est-à-dire dix sols; les voilà, dix sols.
+"Plus, dudit jour, un bon clystère détersif, composé avec catholicon double, rhubarbe, miel rosat, et 
+autres, suivant l'ordonnance, pour balayer, laver et nettoyer le bas-ventre de monsieur, trente sols." 
+Avec votre permission, dix sols.
+"Plus, dudit jour, le soir, un julep hépatique, soporatif et somnifère, composé pour faire dormir 
+monsieur, trente-cinq sols." Je ne me plains pas de celui-là; car il me fit bien dormir. Dix, quinze, 
+seize, et dix-sept sols six deniers.
+"Plus, du vingt-cinquième, une bonne médecine purgative et corroborative, composée de casse 
+récente avec séné levantin, et autres, suivant l'ordonnance de monsieur Purgon, pour expulser et 
+évacuer la bile de monsieur, quatre livres. Ah! monsieur Fleurant, c'est se moquer: il faut vivre avec 
+les malades. Monsieur Purgon ne vous a pas ordonné de mettre quatre francs. Mettez, mettez trois 
+livres, s'il vous plaît. Vingt et trente sols.
+"Plus, dudit jour, une potion anodine et astringente, pour faire reposer monsieur, trente sols." Bon, 
+dix et quinze sols.
+"Plus, du vingt-sixième, un clystère carminatif, pour chasser les vents de monsieur, trente sols." 
+Dix sols, monsieur Fleurant.
+"Plus, le clystère de monsieur, réitéré le soir, comme dessus, trente sols." Monsieur Fleurant, dix 
+sols.
+"Plus, du vingt-septième, une bonne médecine, composée pour hâter d'aller et chasser dehors 
+les mauvaises humeurs de monsieur, trois livres." Bon, vingt et trente sols; je suis bien aise que 
+vous soyez raisonnable.
+"Plus, du vingt-huitième, une prise de petit-lait clarifié et dulcoré pour adoucir, lénifier, tempérer et 
+rafraîchir le sang de monsieur, vingt sols." Bon, dix sols.
+"Plus, une potion cordiale et préservative, composée avec douze grains de bézoard, sirop de 
+limon et grenades, et autres, suivant l'ordonnance, cinq livres." Ah! monsieur Fleurant, tout doux, 
+s'il vous plaît; si vous en usez comme cela, on ne voudra plus être malade; contentez-vous de 
+quatre francs. Vingt et quarante sols. Trois et deux font cinq, et cinq font dix et dix font vingt. 
+Soixante et trois livres quatre sols six deniers.
+Si bien donc que, de ce mois, j'ai pris une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept et huit médecines; 
+et un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze et douze lavements; et, l'autre mois, 
+il y avait douze médecines et vingt lavements. Je ne m'étonne pas si je ne me porte pas si bien 
+ce mois-ci que l'autre. Je le dirai à monsieur Purgon, afin qu'il mette ordre à cela.
+Allons, qu'on m'ôte tout ceci. Il n'y a personne. J'ai beau dire: on me laisse toujours seul: il n'y a 
+pas moyen de les arrêter ici.(Il agite une sonnette pour faire venir ses gens.)
+Ils n'entendent point, et ma sonnette ne fait pas assez de bruit. Drelin, drelin, drelin. Point 
+d'affaire. Drelin, drelin, drelin. Ils sont sourds... Toinette! Drelin, drelin, drelin. Tout comme si je ne 
+sonnais point. Chienne, coquine ! Drelin, drelin, drelin. J'enrage!(Il ne sonne plus, mais il crie.)
+Drelin, drelin, drelin. Carogne, à tous les diables! Est-il possible qu'on laisse comme cela un 
+pauvre malade tout seul? Drelin drelin, drelin. Voilà qui est pitoyable! Drelin, drelin, drelin. Ah! 
+mon Dieu! Ils me laisseront ici mourir. Drelin, drelin, drelin.

Propchange: pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf-sorted.txt
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    svn:mime-type = text/plain

Added: pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf.txt
URL: http://svn.apache.org/viewvc/pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf.txt?rev=1714630&view=auto
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+++ pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf.txt Mon Nov 16 16:46:17 2015
@@ -0,0 +1,75 @@
+Wer reitet so spät durch Nacht und Wind?
+Es ist der Vater mit seinem Kind;
+Er hat den Knaben wohl in dem Arm,
+Er fasst ihn sicher, er hält ihn warm.Mein Sohn, was birgst du so bang dein Gesicht? 
+—
+Siehst, Vater, du den Erlkönig nicht?
+Den Erlenkönig mit Kron’ und Schweif? —
+Mein Sohn, es ist ein Nebelstreif. —„Du liebes Kind, komm, geh mit mir!
+Gar schöne Spiele spiel’ ich mit dir;
+Manch’ bunte Blumen sind an dem Strand,
+Meine Mutter hat manch gülden Gewand.“ —Mein Vater, mein Vater, und hörest du nicht,
+Was Erlenkönig mir leise verspricht? —
+Sei ruhig, bleibe ruhig, mein Kind;
+In dürren Blättern säuselt der Wind. —„Willst, feiner Knabe, du mit mir gehn?
+Meine Töchter sollen dich warten schön;
+Meine Töchter führen den nächtlichen Reihn
+Und wiegen und tanzen und singen dich ein.“ —Mein Vater, mein Vater, und siehst du nicht dort
+Erlkönigs Töchter am düstern Ort? —
+Mein Sohn, mein Sohn, ich seh’ es genau:
+Es scheinen die alten Weiden so grau. —„Ich liebe dich, mich reizt deine schöne Gestalt;
+Und bist du nicht willig, so brauch’ ich Gewalt.“ —
+Mein Vater, mein Vater, jetzt faßt er mich an!
+Erlkönig hat mir ein Leids getan! —
+Dem Vater grauset’s; er reitet geschwind,
+Er hält in Armen das ächzende Kind,
+Erreicht den Hof mit Mühe und Not;
+In seinen Armen das Kind war tot.ARGAN, seul dans sa chambre, assis, une table devant lui, compte des parties d'apothicaire avec 
+des jetons; il fait, parlant à lui-même, les dialogues suivants:
+Trois et deux font cinq, et cinq font dix, et dix font vingt; trois et deux font cinq.
+"Plus, du vingt-quatrième, un petit clystère insinuatif, préparatif et rémollient, pour amollir, humecter 
+et rafraîchir les entrailles de monsieur?" Ce qui me plaît de monsieur Fleurant, mon apothicaire, 
+c'est que ses parties sont toujours fort civiles. "Les entrailles de monsieur, trente sols." Oui; mais, 
+monsieur Fleurant, ce n'est pas tout que d'être civil; il faut être aussi raisonnable et ne pas 
+écorcher les malades. Trente sols un lavement! Je suis votre serviteur, je vous l'ai déjà dit; vous ne 
+me les avez mis dans les autres parties qu'à vingt sols; et vingt sols en langage d'apothicaire, 
+c'est-à-dire dix sols; les voilà, dix sols.
+"Plus, dudit jour, un bon clystère détersif, composé avec catholicon double, rhubarbe, miel rosat, et 
+autres, suivant l'ordonnance, pour balayer, laver et nettoyer le bas-ventre de monsieur, trente sols." 
+Avec votre permission, dix sols.
+"Plus, dudit jour, le soir, un julep hépatique, soporatif et somnifère, composé pour faire dormir 
+monsieur, trente-cinq sols." Je ne me plains pas de celui-là; car il me fit bien dormir. Dix, quinze, 
+seize, et dix-sept sols six deniers.
+"Plus, du vingt-cinquième, une bonne médecine purgative et corroborative, composée de casse 
+récente avec séné levantin, et autres, suivant l'ordonnance de monsieur Purgon, pour expulser et 
+évacuer la bile de monsieur, quatre livres. Ah! monsieur Fleurant, c'est se moquer: il faut vivre avec 
+les malades. Monsieur Purgon ne vous a pas ordonné de mettre quatre francs. Mettez, mettez trois 
+livres, s'il vous plaît. Vingt et trente sols.
+"Plus, dudit jour, une potion anodine et astringente, pour faire reposer monsieur, trente sols." Bon, 
+dix et quinze sols.
+"Plus, du vingt-sixième, un clystère carminatif, pour chasser les vents de monsieur, trente sols." 
+Dix sols, monsieur Fleurant.
+"Plus, le clystère de monsieur, réitéré le soir, comme dessus, trente sols." Monsieur Fleurant, dix 
+sols.
+"Plus, du vingt-septième, une bonne médecine, composée pour hâter d'aller et chasser dehors 
+les mauvaises humeurs de monsieur, trois livres." Bon, vingt et trente sols; je suis bien aise que 
+vous soyez raisonnable.
+"Plus, du vingt-huitième, une prise de petit-lait clarifié et dulcoré pour adoucir, lénifier, tempérer et 
+rafraîchir le sang de monsieur, vingt sols." Bon, dix sols.
+"Plus, une potion cordiale et préservative, composée avec douze grains de bézoard, sirop de 
+limon et grenades, et autres, suivant l'ordonnance, cinq livres." Ah! monsieur Fleurant, tout doux, 
+s'il vous plaît; si vous en usez comme cela, on ne voudra plus être malade; contentez-vous de 
+quatre francs. Vingt et quarante sols. Trois et deux font cinq, et cinq font dix et dix font vingt. 
+Soixante et trois livres quatre sols six deniers.
+Si bien donc que, de ce mois, j'ai pris une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept et huit médecines; 
+et un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze et douze lavements; et, l'autre mois, 
+il y avait douze médecines et vingt lavements. Je ne m'étonne pas si je ne me porte pas si bien 
+ce mois-ci que l'autre. Je le dirai à monsieur Purgon, afin qu'il mette ordre à cela.
+Allons, qu'on m'ôte tout ceci. Il n'y a personne. J'ai beau dire: on me laisse toujours seul: il n'y a 
+pas moyen de les arrêter ici.(Il agite une sonnette pour faire venir ses gens.)
+Ils n'entendent point, et ma sonnette ne fait pas assez de bruit. Drelin, drelin, drelin. Point 
+d'affaire. Drelin, drelin, drelin. Ils sont sourds... Toinette! Drelin, drelin, drelin. Tout comme si je ne 
+sonnais point. Chienne, coquine ! Drelin, drelin, drelin. J'enrage!(Il ne sonne plus, mais il crie.)
+Drelin, drelin, drelin. Carogne, à tous les diables! Est-il possible qu'on laisse comme cela un 
+pauvre malade tout seul? Drelin drelin, drelin. Voilà qui est pitoyable! Drelin, drelin, drelin. Ah! 
+mon Dieu! Ils me laisseront ici mourir. Drelin, drelin, drelin.

Propchange: pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf.txt
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    svn:mime-type = text/plain